Les enfants vont bien ! À l’heure actuelle, c’est tout ce que je peux dire. Bon aller, je peux en dire un peu plus.
Je l’ai finalement fait ce Chemin de Saint Jacques Brel. Ça n’a pas été facile, mais ça n’a pas été Waterloo non plus. En dix jours j’ai réussi à boucler les 330km qui séparent Oviedo de Saint Jacques ; capitales des Asturies et de Galice respectivement.
Pendant ce périple, il y a eu de tout : des hauts, des bas, des cols, des pentes, des côtes, des sentiers, de la boue, des vallées, des barrages et des loups. Mais aussi des pommes volées dans les jardins particuliers, des courbatures, des sympas, des lourdauds, des boulets, des rusés, du pain trempé dans du fromage frais comme seul repas. Aussi les danois, les français, les belges, les hollandais, les italiens, les espagnols, les canadiens, les vénézuéliens, les allemands, les polonais, les hongrois, les russes, les japonais. Et n’oublions pas les matelas qui vous expulsent du lit, ceux qui vous accrochent, les petits dej’ supervitaminés en commun, les yeux émerveillés devant une vue extraordinaire, les conversations au soleil pépère.
L’énumération pourrait continuer encore des heures mais je sais que les virgules, ça peux devenir barbant. Dans les prochains post, je vais tenter de publier une partie de mes notes de voyage –l’intégralité sera en vente chez votre marchant de journaux-. Je crois que c’est une expérience qui mérite d’être partagée. J’espère donner envie parce que je conseille vraiment à tout le monde de le faire. C’est une expérience humaine, Alexia Laroche Joubert si tu lis ça, c’est pour toi.

Como diría mi abuela « no siento las piernas! ». Así me sentía el jueves por la noche cuando llegué a Santiago después de una paliza de 70km en 19 horas.
Hecho. Desde febrero que lo tenía en la cabeza, y al fin concluí con éxito el Camino de Santiago. No fue fácil, pero tampoco ningún imposible. En diez días recorrí los 330km (aprox.) que separan Oviedo y Santiago de Compostela.
Durante esta odisea hubo de todo: altos, bajos, puertos, subidas, bajadas, senderos, barro, valles, caminos, embalses y lobos. Pero también manzanas robadas en jardines de particulares, agujetas, majos, cansinos, valientes, patosos, avispados. Sin olvidarme de los daneses, franceses, belgas, alemanes, españoles, italianos, holandeses, canadienses, venezolanos, japoneses, polacos, húngaros y rusos. Los colchones que te expulsan de la cama, los que te secuestran, el pan mojado en Philadelphia, los desayunos supervitaminados en plan hermandad, los ojos maravillados al contemplar unas vistas vertiginosas, las conversaciones al sol del atardecer.
La enumeración podría seguir durante horas pero sé que resulta cansino. En los próximos posts, intentaré publicar partes de mi carnet de viaje –el resto lo encontrareis en la zona viajes de la Fnac. Creo que es una experiencia que merece ser compartida. Quiero incitar la gente a que lo haga porque, de verdad, es de esas experiencias que marcan. Pero no los 6 kilómetros que hizo Camps eh!
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