Je me souviens encore quand le lecteur de mon Travail de Fin d'Études (journaliste spécialisé dans les nouvelles technologies) me disait qu'il n'y avait rien de pire qu'un blog inactif. S'il voyait l'état du miens, il demanderait à réviser ma note. Je l'ai sur Facebook, j'ai intérêt à rester discret. Je vais publier au milieu de la nuit. Je me sens Ben Ali là.
Tant de calme du côté des mémoires d'Edgar est la conséquence d'une session d'examens pénible et interminable. Le 27 janvier sera le jour de la délivrance; le jour ou la nuit sera éclairée par mes pupilles dilatées.
Pour ces exams, j'ai décidé d'imiter les pays européens dans les 90's. À cette époque, l'Euro n'existait pas encore. Chaque pays ayant se propre monnaie, celles-ci fluctuaient de manière plus ou moins aléatoire. Hormis l'Allemange, tous les pays étaient de mauvais élèves de la stabilité monétaire. Une inflation enflammée, des taux de changes qui changeaient à chaque JT. Pas bon tout ça. Un jours, quelqu'un a eu la brillante idée de fixer la valeur des monnaies européennes au Deutschemark allemand. Celle-ci étant stable et solide, elle transmettrait cette solidité aux autres. Phénomène des mécanismes de transmissions et d'interdépendance économique.
"David, qu'est-ce que tu nous emmerdes avec ton charabia à la Zemmour?!". Et bien je débite tout ça car c'est la raison pour laquelle le 22 janvier, je n'ai toujours rien publié. En effet, pour cette session d'examen, j'ai décidé de faire comme les francs belge, français ou autres pesetas. J'ai lié mon activité à l'Allemagne. En gros, j'ai configuré mes horaires d'études en fonction de ceux d'une camarade de Master allemande. J'ai ainsi adopté la discipline, l'acharnement et l'impitoyable rigueur du pays teuton. Ces violent, mais niveau productivité, y'a pas mieux. Cela donne des sessions 9-20h à la bibliothèque avec 30 minutes de pause. Je n'ai jamais passé autant d'heures à l'études; j'ai même gouté des boissons énergisantes filipines pour trouver de la force et mes fesses ont passé la bague aux pattes d'une des chaises de la biblio.
"je vais peut-être devoir commencer à étudier la nuit aussi..."
La seule chose qui me préoccupe dans tout ça, c'est que maintenant je veux une VW, un jardin pour pouvoir acheter des outilsBosh Bosch et je commence à trouver Angela Merkel séduisante. Heureusement, d'ici peu je retourne à Bruxelles pour regagner un peu de ma belgitude perdue.
Tant de calme du côté des mémoires d'Edgar est la conséquence d'une session d'examens pénible et interminable. Le 27 janvier sera le jour de la délivrance; le jour ou la nuit sera éclairée par mes pupilles dilatées.
Pour ces exams, j'ai décidé d'imiter les pays européens dans les 90's. À cette époque, l'Euro n'existait pas encore. Chaque pays ayant se propre monnaie, celles-ci fluctuaient de manière plus ou moins aléatoire. Hormis l'Allemange, tous les pays étaient de mauvais élèves de la stabilité monétaire. Une inflation enflammée, des taux de changes qui changeaient à chaque JT. Pas bon tout ça. Un jours, quelqu'un a eu la brillante idée de fixer la valeur des monnaies européennes au Deutschemark allemand. Celle-ci étant stable et solide, elle transmettrait cette solidité aux autres. Phénomène des mécanismes de transmissions et d'interdépendance économique.
"David, qu'est-ce que tu nous emmerdes avec ton charabia à la Zemmour?!". Et bien je débite tout ça car c'est la raison pour laquelle le 22 janvier, je n'ai toujours rien publié. En effet, pour cette session d'examen, j'ai décidé de faire comme les francs belge, français ou autres pesetas. J'ai lié mon activité à l'Allemagne. En gros, j'ai configuré mes horaires d'études en fonction de ceux d'une camarade de Master allemande. J'ai ainsi adopté la discipline, l'acharnement et l'impitoyable rigueur du pays teuton. Ces violent, mais niveau productivité, y'a pas mieux. Cela donne des sessions 9-20h à la bibliothèque avec 30 minutes de pause. Je n'ai jamais passé autant d'heures à l'études; j'ai même gouté des boissons énergisantes filipines pour trouver de la force et mes fesses ont passé la bague aux pattes d'une des chaises de la biblio.
"je vais peut-être devoir commencer à étudier la nuit aussi..."La seule chose qui me préoccupe dans tout ça, c'est que maintenant je veux une VW, un jardin pour pouvoir acheter des outils
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