samedi 18 avril 2009

EP n°2

Hoy quiero dejar un texto que escribí un día que me enseñaron fotos de una fiesta en la que yo no estaba. Lo que parece un momento de risas y entretenimiento, se puede convertir en un auténtico suplicio. Con la explosión de las redes sociales, esa situación se ha multiplicado hasta restarle transcendencia. Hablo de cuando te gusta alguien y ves fotos de una fiesta.

Jugué a la ruleta rusa emocional 2.0. Mis miedos no se confirmaron pero han aumentado su credibilidad. Mirar las fotos de una noche en la que el alcohol era una invitado más , es dispararse en el corazón con un revolver cuya recámara ha sido cargada por el destino. Pinchamos en "siguiente" como si apretáramos el gatillo. En cualquier momento la bala puede salir disparada matando así nuestras ilusiones y esperanzas. Algunos disparos parecen propulsar pétalos de flores. Otros en cambio son más dolorosos sin ser definitivos. Dañan pero no matan. Anuncian una muerte inminente pero no actúan. Cada cliché positivo mantiene en vida el utopista sueño de guardar una mano posada sobre nuestro futuro. Cada píxel negativo me aleja un poco más de ti. Intento prepararme para el día en que la cara de libro coloque una bala en la siguiente recámara y mate para siempre la causa de uno de mis grades arrepentimientos, tú.



Aujourd'hui je voudrais poster un texte sur un sujet d'actualité depuis que les appareils photos existent et surtout depuis que les réseaux sociaux on fait irruption dans nos vies de débauches. Un texte sur cet inconfortable moment qu'est le visionnage de photos d'une soirée à laquelle a participé une personne qui nous plait. À cette soirée, se sont bien sur invité Jack Daniel's, Vladimir Eristoff et Samantha Negrita.

J'ai joué à la roulette russe émotionnelle. Mes craintes ne se sont pas confirmée mais se sont crédibilisées. Regarder les photos d'une soirée où l'alcool était un invité de plus, c'est comme se tirer dans le coeur avec un revolver con les chambres ont été chargées par le destin. On clique sur "suivant" comme on appuie sur la gâchette. À tout instant une balle peut partir tuant ainsi mes illusions d'un coup sec. Certains tirs semblent porter des pétales de roses tant ils soulagent et font du bien. D'autres en revanche, sont plus corrosifs dans être pour autant définitifs. Ils font mal mais ne tuent pas. Ils sont annonciateurs d'une mort proche mais ne nous mènent pas encore face à Saint Pierre. Chaque cliché positif maintient en vie l'utopiste souhait de garder une main posée sur le futur. Chaque vision négative t'éloigne une peu plus de moi. Je redoute le jour où la Face de Livre posera une balle dans la chambre suivante et en finira une bonne fois pour toute avec ce petit être caché au plus profond de moi qui alimente en oxygène cette petite flamme qui brule encore pour toi.


Look what youve done - Jet

4 commentaires:

  1. jajaj que no mujer, que es un texto viejo escrito principios de febrero. Ahora estoy... ahora estoy asumiendo lo que para otros parece inasumible.

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  2. no. en ese tema, he hecho lo que me has ordenado. enteré el pedazo roto en una maceta cerca de casa.

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